MANGA / CRITIQUE : Resident Evil – marhawa desire

Des zombies dans une école, non ce n’est pas high school of the dead, mais : Resident Evil – marhawa desire

Exemplaire gagné sur le blog de Kawakawakun (qui offrait également un poster ), voilà une agréable découverte pour une transposition du jeu typé survival horror de capcom.

Dessin signé Naoki Serizawa , a qui on doit la série Saru Lock, ce mangaka plutot habitué à dessiner de jolie minois arrive sans problème à nous montrer des corps en putréfaction.

Le gros reproche du coup pour les lecteurs de Saru Lock est cette impression d’avoir Ricky sous les traits de Sarumaru, et beaucoup d’étudiante ressemblant trait pour trait aux fantasmes de ce dernier.

Pour le moment avec ce tome 1 on est assez loin de l’univers Resident Evil : on assiste à l’arrivée d’un scientifique (Doug Wright) et son neveu (le fameux Ricky) dans une école coupée du monde (au nom de Marhawa d’où le titre) suite à l’appel de la directrice (et accessoirement ex amante de Doug). On y découvre donc des zombies.

En parallèle on va avoir l’équipe de la BSAA (Alliance d’évaluation des risques bioterroristes ) mené par Chris redfield (là je connais ) qui sans nouvelle de Doug Wright , et oui ce malin scientifique part dans un endroit paumé sans laisser trace de sa future destination, va partir à sa recherche.

Oscillant entre le shonen pour la partie immature de Ricky et le seinen pour les rares scènes de gore; ce Resident Evil – marhawa desire n’a pas vraiment réussi à me capter tant il est pour le moment loin de l’univers qu’il cite. Je lui laisse une seconde chance avec le tome 2 ; à paraître à la rentrée.

 

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