CRITIQUE : Tohu-Bohu
Ceci n’est pas un manga, mais une expérience : Tohu-Bohu
L’aventure commence dés les premieres pages, une couleur bleutée (polycopié style) assez déconcertante ainsi qu’un design qui peut tout a fait rebuté par son coté innocent et enfantin.
Mais encore faut il s’en méfier, car au delà de son dessin ToHu-BoHu vous emmène dans une série de court récit extraordinaire. Imaginaire, flottant, incompréhensible, sans fin ; voici quelques adjectifs qui pourrait caractérisé certaines de ces histoires.
J’ai été dupé par des contes qui n’ont pas de scénario, et à plusieurs reprises je me suis dit : mais qu’est ce que, quoi , pourquoi ? Car ces tranches de vie ne sont pas généralement pas construite de scénario ordinaire, elles n’ont pas de fin, voir pas de début si elle se boucle.
Ce manga n’est donc pas à prendre comme les classiques communs de la librairie japonaise, merci IMHO (et à toi Benoit pour le conseil de ce livre lors de la présentation de rentré de cet éditeur) pour cette découverte hors norme.
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