CRITIQUE : Overlord
Encore des expériences nazis : Overlord
Nous avions eu Dead-Snow, IronSky ou encore outpost. Cela fait une ribambelle de film similaire, ou au moins traitant du même thème sur la face cachée des nazis.
Le scénario est ultra simple à sa base : lors du débarquement de Normandie, une troupe de soldat à pour mission de détruire un clocher renfermant un émetteur radio. Destruction nécessaire pour assurer l’invasion sur les plages.
Vu en 4DX, il est assez dur d’avoir une critique objective tant le rendu dans cette salle est exceptionnel. L’introduction à elle seule, dans la carlingue de l’avion en train de se faire allumer par la DCA juste avant le largage des parachutistes, est digne d’un manège à sensation.
Overlord, j ai pris ça au début comme un énième film de mort vivant mal ficelé. Mais finalement la réalisation de Julius Avery est sérieuse et soignée, pas de bouffonneries ; on y croirai presque à cette histoire. On ne sombre jamais dans le gore gratuit, juste ce qu il faut pour faire monter la pression. Il ne faut donc pas s’attendre à une horde qui débarque, mais plutot une montée en puissance et en tension sans temps mort.
Coté casting j’ai eu l’impression de voir des sosies d’acteur mieux payé tout le temps : Jovan Adepo/John Boyega , Wyatt Russell/Jason Clarke , Mathilde Ollivier/ Léa Seydoux et enfin Pilou Asbæk pour Michael Shannon.
Overlord est un jolie divertissement qui surclasse les autres films dans ce thème.
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