CRITIQUE – Je ne suis pas un homme aka Ningen Shikkaku 人間失格

Vu au japan expo et récupéré dans la foulée (tome1 puis tome2), ce manga en deux volumes m’a agréablement surpris : je ne suis pas un homme

Je classerait ce manga non pas dans la catégorie seinen, mais plutôt dans un genre réaliste, bien qu’il ne faut pas laisser traîné cet oeuvre à la portée de tout le monde : drogue, argent, sexe, vulgarité, mort … sont les thèmes abordés.

Bien qu’à 18 euros le volume, il aurait été dommage que je passe à coté !

« Comment Yôzô Ôba, si séduisant, intelligent et apprécié de tous …est il devenu en dix ans à peine, une épave au bord du gouffre » Voici comment nous est présenté le livre. L’histoire commence par une autovision du mangaka Usamaru Furuya en panne d’inspiration et tombant sur un site internet relatant la vie de Yôzô Ôba.

Cette double plongée dans l’histoire lut par un mangaka lui même lu par le lecteur (on est loin d’inception tout de même) accentue l’aspect réaliste du manga. Pas de super pouvoir, de magical girl ou encore de pluie noir du temps (critique de sprite très bientot) mais tout au mieux des cauchemars liés à la dépression et aux additions (drogue, travail, sexe).

Si vous aimez requiem for a dream alors vous adorez je ne suis pas un homme, la déchéance de ce jeune garçon qui avait tout pour réussir et auquel son entourage n’a pas d’emprise (sauf peut être papillon) est sévèrement mené.

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