CRITIQUE – Rocketbirds : Hardboiled Chicken
Sorti ce jour sur le playstation store et ayant reçu un code pour tester le jeu de la part du studio Ratloop Asia , voici un jeu complètement déjanté Rocketbirds : Hardboiled Chicken
Passage sur PS3 oblige ; une refonte complète de Rocketbirds : revolution à été opéré. On peut voir plusieurs détail de cette refonte sur l’article de Lucas Pope ICI.
N’ayant jamais put passer au tableau 2 sur l’application flash, c’est avec un oeil neuf que je commence l’aventure de ces angry birds volatiles pas content et revanchard. C’est partit pour 1 heure de jeu.
Sachant que ce jeu était développé en 3D, j’ai lancé le jeu avec l’option stéréoscopique. On le reverra dans la suite mais cette option agrandit énormément la profondeur (au sens propre et figuré) du jeu
Voué à etre dans la ligne de flashback, on retrouve en effet le principe de jeu de plateforme à tableau mais sans le coté scénaristique ou même les dialogues. Le coté action est beaucoup plus mis en avant.
Pour corser eviter la linéarité l’affaire on retrouve le système classique des clés de couleur (depuis doom on n’a pas changer grand chose) qui vous oblige à faire des aller et retour pour trouver la bonne combinaison.
Le gameplay est quant à lui dynamique mais là où l’animation de notre volatile est parfaitement fluide, les scènes de gun shot manque de surprise. Le gore bien que présent avec les flaques de sang au mur ou certaines pieces n’a pas son reflet sur les impacts sur les ennemis, ces derniers mourrant toujours allongés quelque soit l’arme utilisé( du pistolet au shotgun en passant par la mitraillette)
La séquence de jetpack est presque à oublier, la maniabilité est faite en 8 points de direction et donc manque de maniabilité.
On également été implanté dans ce jeu :
- des passages au sprite beaucoup plus imposant, je regrette presque que le reste du jeu ne soit pas à cette echelle.
- un système de transfert de personnages (remember lost viking) pour quelques aides obligatoires.
- Les musiques sont sporadiques mais sont très bonne sur les passages où elles sont présentes.
- des zones en deuxième profondeur de niveau pour pouvoir se cacher .Ces derniers sont ratés car grotesque puisque les ennemis passe devant alors que vous le personnage est planqué à 20 centimètres du passage.
D’ailleurs sur ce dernier point on se rend compte de l’utilité de la 3D, les zones de protection sont bien plus délimités par l’effet de profondeur. Ensuite sur certains tableau la 3D a permis de trouver plus facilement les zones de passage. Et enfin sur la troisième capture qui est brouillon en 2D, elle prend toute sa splendeur en 3D.
Les scènes de dialogues hors cinématique sont les bienvenue car ajoute une touche d’humour. Touche d’humour qui aurait put être plus présente tout au long du parcours (les scènes de lose aurait put être par exemple un peu plus sarcastique, là il n’y a rien).
Les passages animatiques étant développés en flash, elle n’ont rien d’exceptionnel mais assez varié.
Fin de le petite heure de jeu, je suis arrivé au chapitre 6 (sur un total d’une quinzaine ) sans vraiment trop de difficulté.
Vendu à un prix correct 8.99 euros sur le psn store, Rocketbirds : Hardboiled Chicken prends vraiment tout son plaisir de jeu avec un équipement 3D ; et sa bonne doze de trophée devrait ravir les collectionneurs. Les autres y trouvons un énième jeu de plateforme à tableau sans vraiment de background pour accrocher.
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