CRITIQUE : Resident Evil Marhawa Desire
Que vaut un resident evil en manga : Marhawa Desire
Avant de se plonger dans la lecture il faudra outrepasser l’aspect graphique des jaquettes qui n’est pas des plus réussi, la faute à un design qui mis en couleur avec ce fond n’est pas réjouissant. On peut apercevoir qu’une mise en page différente du titre à été mis en place et ceux dés le tome 2. Dans sa version japonaise ce n’est pas Chris mais un zombie sur la jaquette du volume 1.
Style Naoki Seriwasa oblige, on découvre notre personnage principal à l’affût de minette en tout genre, on sent la patte du mangaka qui nous a sorti Saru Lock car son héro à exactement le même caractère. Il va faire équipe avec son oncle Doug pour résoudre une affaire qui se passe dans un lycée reculé du monde, le marhawa. Cette institution est mené par une ancienne amie de Doug, soeur Marisa.
Premier approche, un cas de zombie a été détecté. il faut éradiquer le problème en cherchant le patient zéro et donc la source du problème.
Un cas de zombie dans l’école, on va resté sur sa faim jusqu’au milieu du tome 2 où une première expédition pour éradiqué le phénomène qui prend un peu d’ampleur. L’intrigue prend un peu de profondeur avec les révélations de la maîtresse des lieux qui n’est pas aussi sage que les apparences pouvaient le laissé penser.
Et oui l’aventure ne se situe pas à un simple réseau de zombie, puisqu’un personnage mystère viendra ajouté un peu de piquant à l’historie. Là on multiplie les pistes interrogatives.
Et le coté resident Evil dans tous ça ?! Et bien il faudra attendre la toute fin du tome 3 pour faire apparaître Chris Redfield et sa team pour mettre en bouilli le bordel local.
Il y aura de toute façon fort à faire pour notre team car après le menu fretin il y a toujours le big boss.
That’s the end ? Fin de l’histoire très mal géré, nous sommes pas au niveau du lamentable épilogue de guin saga et les 7 mages mais c’est un peu du même style et donc on restera grandement sur sa fin, beaucoup de mystère ne seront pas élucidé.
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