CRITIQUE – Black Joke
Acheté recemment (billet d’achat ici), je me plongé dans cet univers de violence se déroulant sur une île (ça fait très battle royale ce pitch) : Black Joke
La violence il y en a! Et toujours superbement illustrée. Masayuki Taguchi a maintenant un trait vraiment défini ( beaucoup mieux que les premiers tomes sur battle royale) qui n’ai pas pour me déplaire. D’ailleurs il faut que j’arrive à me procurer black jack Neo dont il est le dessinateur.
Coté charme aussi il s’est amélioré. Pas de doute, on est bien dans du seinen pur et dur.
Dans ce manga nous suivons deux chargés de sécurités d’un des hôtels situé sur cette ile artificiel. L’un est intelligent, l’autre est une brute épaisse : classique mais efficace.
L’histoire est découpé sans continuité temporelle, ce qui facilitera la liaison si les parutions sont espacés.
Evidemment le tome 3 en déjà dans la liste des précommandes (27 octobre ouah c’est loin).
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